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Libéré après 50 ans de tortures, un éléphant pleure de joie ( voir la vidéo)

 

 

 

Battu et maltraité pendant plus de 50 ans, l'éléphant Raju a finalement été libéré de son tortionnaire grâce à l'association Wildlife SOS. Lors de son sauvetage,  l'animal a laissé échapper des larmes de soulagement.

Après un demi-siècle de tortures, un éléphant indien a finalement connu le bonheur. Le 4 juillet 2014, l'association Wildlife SOS a mené avec succès une opération de libération de l'animal.

En pleine nuit, une équipe composée d'experts, de vétérinaires, de policiers et de gardes forestiers, s'est rendue auprès de l'éléphant baptisé Raju et l'a libéré de ses entraves hérissées de pointes.

Un sauvetage décrit comme "incroyablement émouvant" par Pooja Binepal, porte-parole de l'association.

Une émotion d'autant plus forte que l'animal lui-même a exprimé son trouble. "L'équipe était étonnée de voir des larmes couler sur son visage pendant le sauvetage. Nous savions dans nos cœurs qu'il était en train de se rendre compte qu'il était libéré", explique Pooja Binepal au Daily Mail.  "Les éléphants sont non seulement majestueux mais aussi très intelligents", ajoute-t-il.

Enchaîné, battu et mal nourri pendant 50 ans

Lors du sauvetage, Raju était dans un état pitoyable. Enchaîné aux quatre pattes, l'éléphant était obligé de mendier toute la journée de l'argent aux touristes et aux passants. Mal nourri, il survivait en avalant des morceaux de plastique et des papiers.

Raju souffrait également de nombreuses plaies et blessures, causées par ses entraves et les coups de son tortionnaire. "Jusqu'à ce que nous le libérions, il n'avait jamais marché sans ses chaînes", souligne le porte-parole.

Une nouvelle vie pour Raju

Une fois libéré, l'éléphant a été conduit dans un centre de soins spécialisés. Raju a été soigné, nourri et baigné.

Désormais, il va devoir apprendre à vivre avec les humains et ses congénères. "Ce sera un long processus de réhabilitation, mais nous lui apprendrons que les humains ne sont synonymes de douleur et de brutalité", explique Kartick Satanarayan, fondateur du centre. 

DirectMatin

 

 

 

 

 

 

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